Le planning familial, lieux d'information et de prévention, notamment pour la contraception et la sexualité des jeunes, a déploré une baisse de crédits de 500 000 euros en 2012 et a lancé une pétition sur internet.
Cela alors même qu'un rapport publié le 16 février fait une nouvelle fois le constat du manque d'information sur la sexualité et d'un accès parfois compliqué à la contraception.
En 2009, le gouvernement avait prévu de réduire de 2,5 millions à 1,5 millions d'euros les crédits du planning familial, avant de faire marche arrière devant les protestations.